Pour cette anglaise diplômée d’un master en relations internationales obtenu au Japon, devenir formatrice et traductrice français-anglais n’était pas planifié. Mais, les hasards de la vie l’ont guidé vers ce métier qu’elle exerce aujourd’hui en toute indépendance et flexibilité grâce au statut d’auto-entrepreneur. Portrait. Samantha s’est immatriculée auto-entrepreneur dès la création du statut en 2009. «Avant, j’exerçais mon activité en entreprise individuelle classique. Mais avec ce statut, je devais payer à l’avance un montant estimé de cotisations sociales, montant qui était recalculé l’année suivante sur la base du revenu réel déclaré. Ceci me mettait parfois dans une situation inconfortable lorsqu’en année n+1 je subissais une baisse d’activité tout en devant faire face à des cotisations élevées, car calculées sur une année n-1» explique la pimpante quadragénaire.